Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Elo la Banana, the come back

Elo la Banana, the come back
Publicité
Elo la Banana, the come back
Archives
18 août 2007

La langue française

Petit copié/collé d'un texte trouvé sur le net et que je trouve vraiment sympa ^^

La langue française est quand même bizarre. Pourquoi dit-on UN tabouret et pourquoi UNE chaise ? Pourquoi UN tabouret ? LE tabouret a-t-il des petits attributs que je n'aurais point vus ?
Pourquoi dès que c'est UNE galère, c'est tout de suite au FEMININ?
LA pluie, LA neige, LA grêle, LA tempête, tout ça, c'est pour vous les FILLES.

Ah ben oui ! Nous, c'est LE soleil et LE beau temps, voyez? Mais vous, vous avez pas de pot : LA cuisine, LA bouffe, LA poussière, LA pattemouille.

Nous, c'est LE café dans LE fauteuil avec LE journal, et ça pourrait être LE bonheur si vous ne veniez pas nous fout*e LA mer*e. Ah, j'ai rien inventé, LA langue française est quand même bizarre.. Mais ne voyez aucun sexisme là-dedans, oh non ! D'ailleurs, entre parenthèses ,je vous signale que LE mot sexe n'a pas de FEMININ. On ne dit pas UNE sexe, on dit LE sexe d'UNE FEMME, ça fait quand même plus sérieux, eh oui!

D'ailleurs, dès que c'est sérieux, comme par hasard, c'est tout de suite au MASCULIN : on dit UNE rivière, UNE p'tite rivière, mais UN fleuve, on dit UNE voiture,mais UN avion avec UN réacteur, pas UNE hélice de me*de. là!
Et quand il y a UN problème dans UN avion, c'est tout de suite UNE catastrophe, hé ! hé ! Alors, c'est toujours à cause d'UNE erreur de pilotage, d'UNE mauvaise visibilité, bref à cause d'UNE con*erie.
Et alors, attention, dès que LA con*erie est faite par UN MEC, tout de suite, ça s'appelle plus UNE co*nerie, ça s'appelle UN impondérable !

Enfin, moi, si j'étais vous les FILLES, je ferais UNE pétition. Et il faut faire très très vite parce que votre situation s'aggrave de jour en jour:
y'a pas si longtemps, vous aviez LA logique, LA bonne vieille logique FEMININE. Ca, les mecs, ça leur a pas plu, ils ont inventé LE logiciel. Mais vous avez quand même quelquefois de petits avantages : on a LE mariage, LE divorce, vous avez LA pension. Vous avez LA carte de crédit, on a LE découvert.
Mais en général, LE TYPE qui a inventé LA langue française ne vous aimait pas beaucoup. Il n'a pas pu s'empêcher de mettre UN accouchement. Vachement MASCULIN, UN accouchement ! Ah ça, des erreurs comme ça, il en a fait plein : UN sac à main, ça c'est viril à mort ça! UN soutien-gorge, ça c'est UN truc de camionneur ! LE maquillage, LE rouge à lèvres...
Il s'est trompé dans l'autre sens aussi : UNE moustache, ça c'est LA FEMINITE poussée à son comble. LA virilité... et UNE coui*le!!!!
Alors là, je sais pas comment IL a fait pour se tromper, parce que très tôt dans LA vie, on découvre qu'UNE couille c'est pas ce qu'il y a de plus FEMININ. Même les aveugles font LA différence. Ben LUI, IL a rien vu:
"Hein? UNE couil*e?

Kécecéça? Oh ben ça doit être UN truc FEMININ, en tout cas, moi j'ai rien du tout. " Et là, ça expliquerait tout: ça expliquerait LA virilité, LE maquillage,
LE rouge à lèvres, LE sac à main, LE soutien-gorge... LE travesti!

Veuillez donc noter que LA langue française a été inventée par UN travelot.

Publicité
Publicité
24 juillet 2007

Les têtes à claques !

Tite vidéo que élo m'a fait découvrir, franchement je suis trop mdr à chaque fois que je la vois !
hey mon ami ! t'aime ça manger des patates ?!!!! mdr



19 juillet 2007

Quelques jours en enfer...

Elle était heureuse. Elle avait tout pour l'être de toute manière. Elle avait deux parents qu'elle aimait et qui le lui rendaient bien. Elle avait un grand frère qu'elle adorait et admirait qu'elle voyait de temps en temps. Tout le reste de sa famille était adorable et aimant. Elle avait des amis exceptionnels qui comptaient vraiment pour elle et elle savait qu'elle comptait pour eux. Elle avait un copain, âgé de quelques années de plus qu'elle, qu'elle aimait à la folie et savait qu'il l'aimait tout autant en retour. Elle avait une maison et vivait confortablement dans une ville sympa. Elle était en bonne santé, comme tous ses proches. Elle n'avait pas de problème particulier. Elle vivait heureuse, sans crainte du lendemain.
Elle avait énormément de défauts et ne s'appréciait pas elle-même, bien qu'elle se détestait moins qu'auparavant depuis que cet homme était entré dans sa vie. Mais elle se connaissait une qualité : la conscience du bonheur. Et ce réalisme lui permettait de profiter pleinement de la vie en mettant de côté les moments où elle n'avait pas trop le moral.

Puis un jour, elle avait décrété que c'était fini entre ce garçon et elle. Sa vie prit alors un tournant. Elle allait de plus en plus mal. Il lui manquait chaque jour un peu plus. Elle repensait à tous leurs projets d'avenir qui ne pourraient plus être réalisés. Elle repensait à tous les bons moments qu'ils avaient passé ensemble. Elle retomba rapidemment amoureuse de lui. Elle l'aimait comme au premier jour, ou presque. Cela la faisait énormément souffrir. Lui souffrait tout autant. Et elle souffrait encore plus de le faire souffrir.
Chaque journée était passée à pleurer. Jamais elle n'avait pleuré autant. Ni même pensé que c'était possible. Elle avait de plus en plus de mal à cacher son état à ses parents. Elle faisait comme si elle était tout simplement fatiguée et donc que ses yeux rouges et son teint pâle n'étaient dus qu'à un manque de sommeil.
Elle commença à rêver qu'elle se suicidait. Puis à y penser la journée. Jusqu'à ce que cela devienne une véritable obsession pour elle. Elle cessa d'aller dans sa cuisine, ne supportant plus la vue des couteaux qui s'y trouvaient. De toute manière elle n'avait plus faim et ne mangeait presque plus. En une semaine elle avait mangé du bout des lèvres environ l'équivalent d'un repas normal.
Elle s'en voulait, se méprisait, se détestait. Elle continuait de pleurer sans cesse, de se prendre la tête tous les jours avec ce garçon qu'elle avait tant aimé. Elle louchait de plus en plus sur les couteaux, les lames de rasoirs et toutes sortes d'objets coupants. Ainsi que sur les médicaments de la boîte à pharmacie.
Elle n'en pouvait plus.

Un soir, ce garçon lui apprit qu'il en aimait une autre. Il lui dit qu'il ne l'aimait pas autant qu'il l'avait aimé elle, mais qu'il l'aimait tout de même. Enormément. Il était vraiment amoureux. Elle sentit le monde s'effondrer autour d'elle.
Il faisait nuit, l'orage éclatait dehors. Elle était seule chez elle. Elle s'était dirigée vers sa salle de bain, avait pris un rasoir dans sa main. Cette fois c'était décidé. Elle n'en pouvait plus, n'avait plus ni l'envie ni la force de continuer. Elle avait envie de vomir, sa tête lui tournait. La veille elle avait encore fait un malaise et était tombée par terre, prise d'un vertige plus important que les autres. Elle ne voulait pas que ça recommence. Elle aurait hurlé de désespoir si ça avait pu la soulager. Elle continuait de pleurer.
Au moment où elle commençait à le faire, elle pensa à tous les gens qu'elle aimait et qui l'aimait. Elle pensa à ses parents, à sa famille et à ses amis. Elle pensa à lui aussi. Beaucoup. Mais elle préférait essayer d'oublier sa douleur, de l'oublier lui.
Puis elle décida d'arrêter de faire souffrir les gens, d'arrêter de se faire souffrir elle-même. Elle réalisa ce qu'elle s'apprêtait à faire et se méprisa encore un peu plus. Elle alla ranger sa lame de rasoir hors de sa vue avant qu'elle ne rechange d'avis.
Elle n'était donc pas morte, elle avait toute sa vie devant elle. Toute une vie pour être heureuse. Et elle se promis qu'elle le serait. Elle s'obligea à sourire. A une faible esquisse de sourire succéda un sourire timide, triste, mais un sourire un peu moins forcé tout de même. Le premier sourire sincère depuis longtemps.

Elle est heureuse aujourd'hui. Cela fait quatre jours qu'elle a décidé de s'en sortir. Quatre jours qu'elle s'est promis de quitter cette spirale infernale. Elle sourit beaucoup plus. Elle ne pleure plus. Elle profite de la présence de ses amis et sort tous les soirs. Elle profite de sa jeunesse somme toute. Elle a raison de le faire et elle le sait. Elle prend du recul sur ces dernières semaines. Elle se déteste un peu moins. Elle ne veut plus souffrir comme elle a souffert. Plus jamais. Elle ne veut plus passer ses journées à pleurer. Elle ne veut plus que le suicide devienne une obsession pour elle. Elle veut être heureuse. Et elle le sera.

Elle, c'est moi. Une pauvre jeune fille de 18 ans, complètement perdue. Une jeune fille qui remonte la pente. Mais surtout, une jeune fille qui aime la vie.

18 juillet 2007

Lanceurs de canettes...

Vous aviez peut-être déjà vu cette vidéo montrant une bande de jeunes lancer des canettes dans les poubelles d'une manière vraiment très adroite...



Lancer de canettes
envoyé par borisblog


Voilà maintenant la parodie de cette vidéo. Une autre bande de jeunes... un peu moins doués xD

18 juillet 2007

Tu ne sais pas quoi faire de tes 10 doigts ?

Voilà une petite vidéo qui te donnera un aperçu de ce qu'on peut faire avec ses mains, un stylo noir, de la musique et beaucoup de patience et d'entraînement xD


Vous remarquerez que les paroles sont très recherchées xD

Publicité
Publicité
22 avril 2007

Résultats provisoires du 1er tour des présidentielles...

Les résultats (provisoires) du 1er tour des Présidentielles est paru ! Iraient au second tour Nicolas Sarkozy (29.9%) et Ségolène Royal (25.8%). François Bayrou (18.5%) arrive 3ème grâce à un beau score. Jean Marie Le Pen, lui, réalise une performance bien moindre que celle attendue (11%).
Suivent ensuite Olivier Besancenot (4.4%), de Villiers (2.6%), Marie-Goerge Buffet (2%), D. Voynet (1.6%), Arlette Laguiller (1.5%), F. Nihous (1.4%), José Bové (1.1%) et G. Schivardi (0.4%).
Petite remarque au passage : le taux d'abstention est très faible : deux fois moins importants que lors du 1er tour de 2002 environ, il est de 14.4%.
Rendez-vous dans une semaine pour connaître le prochain président de la France...

22 avril 2007

Pirates des Caraibes III

Voilà la bande annonce du troisième volet de Pirates des Caraibes, film sortant le 23 mai au cinéma. Je ne suis pas spécialement fan des deux premiers opus, mais je pense quand même aller voir le 3ème qui a l'air sympa...

22 avril 2007

Bouge ton vote !

Aujourd'hui nous sommes le 22 avril, jour du premier tour de l'élection présidentielle. N'oublie pas d'aller voter pour la personne que tu juges la plus apte à occuper cette fonction !
Rendez-vous ce soir pour les résultats... Sarko ? Royal ? Bayrou ? Passera, passera pas ? Surprise ou pas ? Tant de questions qui vont trouver une première réponse ce soir... avant la réponse définitive dans une semaine.
Alors n'oublie pas d'aller voter ! L'avenir de la France est entre tes mains ;)

20 mars 2007

Ségo sur Sky...

Ce matin Ségolène Royal était invitée sur Skyrock (la radio que j'écoute) pendant une heure et demi. J'ai couté toute l'émission et franchement je dis merci. Merci à Sky de l'avoir invitée, merci à Mme Royal d'être venue...
J'ai ainsi pu me faire une opinion personnelle sur son programme. Les animateurs de Sky étant des animateurs justement, et non des journalistes, ils posaient les questions d'auditeurs (quand ce n'étaient pas eux-même qui intervenaient). Ainsi on ne nous assenait pas tout un discours formaté.
Bref, j'ai trouvé quelques points interessants dans la campagne de Ségolène Royal. Je ne suis pas encore sûre de voter pour elle aux présidentielles, mais au moins maintenant je sais de quoi elle parle. Et j'aime bien.
Les phrases, bateau, du genre "le problème c'est pas les jeunes, je pense au contraire qu'ils sont une grande partie de la solution des problèmes de la France" (je ne m'en souviens plus mot à mot, désolée), marchent très bien sur moi. Elle dénonce l'immobilisme de certains candidats (elle n'a pas dit de nom mais il me semble logique qu'elle parle de Mr Bayrou), qui, en ne changeant rien, font évidemment peu de mécontents. Mais ce n'est pas, selon elle, une solution car c'est comme cela qu'un pays perd peu à peu de son dynamisme. Plus aucune évolution entraînerait une sorte de mort lente du pays... Ce n'est pas vraiment ce qu'elle a dit, mais c'est comme ça que je le comprends.
Elle semble vouloir privilégier une certaine cohésion sociale en multipliant le bénévolat, par exemple. Il faut voir à terme, mais à priori cela me semble une solution.
D'autres points de son programme m'ont particulièrement interessée, mais je crains de déformer ses paroles en en disant davantage...
Si une femme doit être présidente, c'est bien elle. On verra bien ce que ça donnera...

15 mars 2007

L'avenir de l'UNSS compromis ?

Vous avez certainement tous entendus parlé des nombreuses vagues de suppression de postes dans le corps enseignant. Les professeurs d'EPS (Education Physique et Sportive) ne font pas exception. En effet, des nouvelles réformes visent à supprimer l'UNSS afin de réduire le nombre de ces professeurs.
>> Comment ça ?
Le contrat d'un professeur d'EPS contient un forfait de 3h hebdomadaires dédiées à l'UNSS. En remplaçant ces heures par des heures de cours "normales", davantage d'heures de cours pourraient être assurées. Or cela sifgnifierait le besoin de moins de profs. Ce qui conduirait donc à la suppression pure et simple de débouchés dans ce secteur. Déjà très sélective car ayant peu de perspectives d'emplois, cette filière deviendrait donc de plus en plus une sorte d'impasse. Impasse au bout de laquelle les titulaires du CAPES ne pourraient pas excercer leur profession et seraient donc obliger de changer de voie.
>> En d'autres termes...
En d'autres termes, cette réforme vise non seulement à supprimer des postes (ce qui expliquent les nombreuses grèves d'enseignants qui ne cessent de se multiplier), mais également la suppression pure et simple de l'UNSS. C'est au proviseur de chaque établissement, pour le moment en tout cas, qu'il revient la tache de décider si oui ou non ces heures doivent disparaître ou non.
Or l'UNSS est un moyen d'accéder au sport. Pour 15€ (en général), vous êtes titulaire d'une license vous permettant d'exercer le sport de votre choix [disciplines qui dépendent des établissements], même en compétition. Le niveau, qui est généralement plus faible qu'en club, les horaires accessibles à beaucoup (souvent le mercredi après-midi) et le faible coût d'adhésion permet donc à chacun de pouvoir s'essayer à différents sports.
Personnellement j'ai fait 4 années de badminton au collège et 2 années de volley ball au lycée, dans le cadre de l'UNSS. Sports que je n'aurai certainement pas pratiqué autrement. Beaucoup d'entres élèves sont dans mon cas. Que ce soit parce que l'on n'a pas un niveau suffisant (en gymnastique notamment, où les sélections commencent dès le plus jeune âge et où les moins bons sont refusés), ou que ce soit pour des raisons financières, l'UNSS est un moyen plus qu'idéal de nous faire faire du sport...
Faut-il rappeller que nous vivons dans un monde où l'obésité gagne du terrain ? Les gouvernements nous recommandent de faire plus de sport pour être en bonne santé... A côté de cela, ils tentent de nous supprimer ces heures... Je n'y vois qu'une simple contradiction.
A quand un peu de logique ?
A eux alors de faire en sorte que les clubs de sports soient accessibles à tous dans ce cas. Pouvoir faire du sport devrait être un droit pour tous. Or cela ne semble plus guère le cas...
A nous de nous battre pour conserver ce droit !

Publicité
Publicité
1 2 3 4 5 > >>
Publicité